~ le monde fantastique de Standelf ~ -

La discorde entre les deux soeurs avait semé le trouble dans le pays et rendus plus perméables les frontieres de ce dernier.

Yapasdnom, la capitale de Standelf voyait ainsi arriver des étrangers aux desseins divers et parfois bien sombres.

C'est à cette époque que la partie la plus insalubre des bas fonds partit en cendres, apparement du fait d'un geste criminel et qu'une vague de meurtres et de vols s'abattit sur la région.

Mais tout les étrangers n'etaient pas mauvais apparement et certaines avaient même le coeur pur apparement... et devenaient des témoins génants des récents évenements.

Tandis que la belle Natasha, sortie du palais sans escorte et dans le secret, s'efforcait de résoudre les problemes se présentant à elle avec calme et bonté.
ZaYin, pareille à elle même continuait de s'amuser comme bon lui semblait et sans pas toujours avec tact.

Ainsi se déroulait la vie en la principale cité du pays après la mort du bon roi.

Les anciens de la cité pourraient vous parler aisément de leur roi et de sa bonté.
Sa droiture et sa force de caractère avaient rendue une vie paisible et heureuse pour tous possible dans tout son royaume.
De nature peu belliqueuse il avait su préserver la paix avec les contrées voisines et tout se passait pour le mieux.

Hélas, trois fois hélas, la bonté ne donne pas le don d’immortalité et le bon roi s’éteignit un soir, plongeant le royaume dans la perplexité quand à sa succession.

En effet son union avec Ajna la Douce ne lui avait pas assuré de descendance mâle et personne dans le royaume n’aurait su dire à l’annonce de sa mort qui de ces deux filles le roi avait choisit pour lui succéder.

Il faut dire que les deux sœurs étaient aussi différentes que peuvent l’être le jour et la nuit.
Seule une beauté incroyable les unissait, héritée de leur mère.

La plus âgée, Natasha était de le blondeur d’un champ de blé sous le soleil et la belle était connue pour sa bonté et son dévouement envers leur peuple.
De tout temps les sujets de son pere l'avait connue serviable et attentive à leur sort et jamais elle ne haussait le ton de sa douce et melodieuse voix.

Quand à la rousse ZaYin, c’était plutôt hélas ses frasques et ses coups pendables qui déjà toute jeune lui avait assuré une certaine notoriété auprès des citoyens de son père.
Sentant cette force obscure l'entourant dés sa naissance, sa mère avait bien tenté de l’en éloigner, en commençant par son nom mais hélas la manœuvre semblait vaine.

La jeune femme passait ses journées à sillonner les routes accompagnée de sa « cour » motorisée en semant le désordre partout ou ils passaient, au desespoir de son pére et sous l'oeil reprobateur de tout les conseillers de ce dernier.

Tous retenaient leur souffle dans l’attente de la lecture du testament du bon roi.